20 aliments à manger

✔️ 2022-04-15 04:52:24 – Paris/France.

Ail, algues, brocoli…

Si une alimentation saine est avant tout une alimentation équilibrée, alors un régime anticancéreux met également l’accent sur certains aliments dont les propriétés protectrices ont été analysées et prouvées par de nombreuses études. Faites attention aux garanties importantes du secteur anticancéreux.

• Ail

Cette petite gousse puissante est le membre le plus protecteur de la famille des « oignons verts » (oignons, échalotes, ciboulette, ciboulette).

Ses composés soufrés activent la détoxification de l’organisme et préviennent la formation de nitrosamines (nitrites, nicotine de charcuterie), qui peuvent entraîner des mutations de l’ADN et donc des risques de cancer.

Prévenir le cancer de l’œsophage, de l’estomac, de la prostate, du côlon avec dix clous de girofle frais et écrasés par semaine. Rôle potentiel dans le cancer du sein.

• Algues

Nori, varech, nori… riches en fibres, minéraux, vitamines, et au ratio idéal oméga-3/oméga-6, ils permettent aux Japonais de se protéger contre certains cancers.

La fucoxanthine étant la seule source de nourriture, les algues sont capables de stopper la progression des tumeurs latentes en agissant directement sur leur croissance et en stimulant le système immunitaire.

Prévient le cancer du sein (risque inférieur de 56 % chez les Asiatiques), les cancers de l’ovaire, de la prostate et du côlon. En essayant de se rapprocher de l’alimentation japonaise, où les algues représentent jusqu’à 10 %.A lire aussi : Longévité : les secrets du régime d’Okinawa

• brocoli

Membre de la famille des crucifères (chou-fleur, chou de Bruxelles, chou frisé… intéressant aussi), le brocoli est un excellent légume anticancéreux, à la fois préventif et thérapeutique.

Il contient une variété de composés anticancéreux, dont le plus important est le sulforaphane, une molécule qui accélère l’élimination des cancérigènes de l’organisme et est capable de provoquer la mort des cellules cancéreuses en coupant leur nourriture !

À raison de trois à quatre portions par semaine, il était associé à la moitié du risque de cancer de la vessie et du sein dans la prévention de tous les cancers et des récidives. Cuire un peu et bien mastiquer.

• café

Non seulement il est irritant, mais sa consommation régulière peut également réduire le risque de cancer de 20 % par rapport à ne pas en manger.

Parmi ses huit cents composés bénéfiques, certains (caféicol, diterpènes, kahweal, acide chlorogénique, polyphénols) accélèrent l’élimination des cancérigènes et stoppent la croissance des cellules cancéreuses.

Prévenir le cancer de la vessie, de la bouche, du côlon, de l’œsophage, du cerveau, de la peau, du foie (40 % de risque en moins) et le cancer du sein (20 % à 57 % de moins). Buvez deux à trois verres par jour.

• champignon

Champignons ou pleurotes d’Asie (shiitake, enoki, maitake) ainsi que de Paris, qui ont des effets positifs avant et pendant le cancer.

Ils contiennent des polymères qui ralentissent voire bloquent le développement de certaines cellules cancéreuses (en particulier le cancer du sein et du côlon) et stimulent l’activité du système immunitaire pour améliorer leur réponse primaire et les effets de la chimiothérapie.

Consommer au moins 10 grammes de champignons par jour en prévention globale, notamment en prévention des cancers de l’estomac et du sein. La chimiothérapie est également prise en charge pour activer la réduction tumorale.

A lire aussi : Le régime anti-cancer : 5 bonnes vérités

Chocolat noir, curcuma, framboise, graines de lin, grenade

• chocolat noir

Son impact positif sur la prévention des maladies cardiovasculaires s’étend au cancer. A condition qu’il soit à 70% de cacao et qu’il remplace toutes autres douceurs (bonbons…).

Une tablette de chocolat noir contient deux fois plus de polyphénols qu’un verre de vin rouge et un verre de thé vert. À cet égard, il contribue à ralentir le développement des cellules cancéreuses et à lutter contre le stress oxydatif.

Pour la prévention globale, notamment les cancers de la vessie, des ovaires, de la prostate, du foie, des poumons, du côlon, 20 grammes de chocolat noir par jour.

• Curcuma

C’est l’épice dorée de la cuisine indienne. Pour preuve, les Indiens qui ont immigré en Occident avaient une incidence de cancer multipliée par trois !

Sa curcumine a une forte capacité antioxydante, qui peut prévenir les tumeurs induites par divers agents cancérigènes, bloquer la prolifération des cellules cancéreuses et améliorer la réponse à la chimiothérapie.

Prévention et traitement de tous les cancers (côlon, estomac, intestin, sein, prostate…). Sans contrôle, et servi avec du poivre, du gingembre et du cumin (épice au curry) pour renforcer son effet.

• framboise

De la famille des baies, il a la même spécialité que la mûre en associant trois supramolécules anticancéreuses !

La concentration combinée de ses trois polyphénols a la capacité d’empêcher l’activation des carcinogènes en cytotoxiques, de stimuler le système immunitaire et d’inhiber la vascularisation de la tumeur, provoquant sa mort.

Prévention globale, en particulier des cancers hormono-dépendants du sein, de la prostate, du côlon, de l’œsophage et de l’estomac. Picage régulier voire quotidien.A lire aussi : Baies rouges : exploiter leur pouvoir antioxydant

• La graine de lin

Source d’oméga-3 (comme les noix) et de phytoestrogènes (comme le soja), qui protègent contre le cancer du sein de différentes manières.

Ils sont riches en lignanes, des composés que les bactéries intestinales convertissent en molécules qui bloquent la liaison dangereuse entre les œstrogènes et les cellules mammaires, en particulier chez les femmes pré et post-ménopausées.

Pour la prévention primaire et secondaire du cancer du sein. Saupoudrer 1 cuillère à café par jour dans du yogourt ou choisir du pain aux graines de lin.

• Grenade

Cette grosse baie, qui contient des centaines de graines antioxydantes puissantes, est un fruit idéal pour prévenir de nombreux types de cancer.

Ses polyphénols lui permettent d’inhiber la croissance des cellules cancéreuses du sein, du côlon, du poumon, de la peau, et surtout des cellules cancéreuses de la prostate, et la grenade a également un effet positif sur les cancers avancés.

Il est particulièrement important dans la prévention du cancer de la prostate et du sein et est consommé régulièrement, de préférence sous forme de jus prêts à l’emploi (graines et peaux pressées).

A LIRE AUSSI : Avantages de la grenade

Ma section santé anti-cancer

Huile d’olive, lentilles, noix…

• Huile d’olive

Les adeptes du régime méditerranéen riche en huile d’olive avaient un risque de cancer d’environ 15% inférieur.

Il est riche en oléocanthal, qui combine une action préventive avec la capacité de tuer de nombreux types de cellules cancéreuses. D’autres molécules ont bloqué l’activité d’un récepteur essentiel à la formation de nouveaux vaisseaux sanguins destinés à alimenter les tumeurs.

Notamment contre le cancer de l’utérus, le cancer du sein (60% de risque en moins) et le cancer du côlon. Pour être consommé extra vierge, il est de première pression à froid. Plus il pique la gorge, plus sa teneur en oléocanthal est élevée.

• Lentille

Les fibres ont été l’un des premiers composants alimentaires associés à un risque réduit de cancer. Mais les lentilles sont très riches en contenu !

Ils sont lentement dégradés par fermentation pour produire des acides gras anti-inflammatoires qui stimulent le système immunitaire digestif. De plus, en acidifiant l’intestin, ils ralentissent la prolifération des micro-organismes pathogènes.

Dans la prévention du cancer colorectal, on distingue le cancer du foie et le cancer du sein. La bonne mesure est de consommer 30 à 40 grammes par jour au lieu des 15 grammes habituels.A lire aussi : Recette : Dal de lentilles

• Des noisettes

Les noix représentent la meilleure source d’oméga-3 d’origine végétale, un acide gras essentiel aux propriétés anti-inflammatoires qui à son tour a des propriétés anticancéreuses.

Son acide linolénique complète l’apport en oméga-3 (poissons gras) pour compenser l’excès d’oméga-6 (viande froide) à l’origine d’un environnement inflammatoire qui altère la capacité du système immunitaire à combattre les cellules cancéreuses. .

En termes de prévention globale, trois portions de noix par semaine étaient associées à une réduction de 20% à 40% de la mortalité par cancer (40% à 60% de réduction de la mortalité par maladies cardiovasculaires).

• orange

Comme les autres agrumes (pamplemousse, citron, mandarine), il est riche en vitamine C, mais pas que.

Les principales molécules des agrumes, les polyphénols et les terpènes, ont toutes deux la capacité d’arrêter la croissance tumorale et d’améliorer les propriétés anticancéreuses d’autres fruits et légumes, augmentant ainsi leurs concentrations dans le sang.

Prévenir et réduire (environ 40%) le risque de cancer de la bouche, cancer de l’estomac dans le monde… Consommer quotidiennement des fruits entiers, plus sucrés que les jus de fruits et riches en fibres de haute qualité.

• péché

Les pêches appartiennent à la famille des Rosacées et ne sont pas aussi connues que les pommes et les poires (qui ont été associées à la prévention du cancer du poumon), mais les pêches ont également des propriétés anticancéreuses.

Ses polyphénols spécifiques (acide chlorogénique et acide néochlorogénique) sont capables de stopper la croissance des cellules cancéreuses du sein et de réduire fortement la croissance tumorale et la formation de métastases.

La consommation régulière de pêches ou de nectarines, en alternance avec des pommes, des poires ou des prunes, peut réduire de 40 % certains types de cancer du sein.

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Sardines, tomates, thé vert…

• sardine

Avec le hareng, il représente la meilleure source d’oméga-3 d’origine animale. Dans les poissons gras, il est moins contaminé par les métaux lourds.

Ses niveaux élevés d’oméga-3 à longue chaîne (DHA et EPA) compensent l’inflammation causée par l’excès de graisse et de charcuterie, ce qui peut conduire à un système immunitaire affaibli.

Une portion une à deux fois par semaine suffit pour prévenir le cancer de manière globale et naturelle.

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• Soja

Son effet protecteur est réitéré chaque fois que sa forme naturelle (haricots, miso, tofu) est utilisée. Interdit : Phytoestrogènes (ou isoflavones) et compléments alimentaires.

Ses isoflavones limitent le risque de cancers hormono-dépendants, qui se développent avec…

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